Quellessont vos motivations : il s’agit d’une des questions les plus difficiles posées en entretien d’embauche car bien souvent la source de votre motivation est complexe et il faut faire un véritable travail d’introspection afin de mettre des mots sur ce qui vous stimule.Dans la première partie de cet article, vous trouverez des conseils pour déceler
Si je vous demande quelle est l'école la plus prestigieuse en France, j'aurais sans doute les classiques réponses Polytechnique, HEC, ENS, ENA, … Maintenant, souvenez-vous de vos jeunes années lycéennes. Comment choisissiez-vous votre filière ? Si vous aimiez les Lettres vous alliez en L, si vous aimiez les Maths c'était en S, … Non ! Soyons sérieux, personne n'aime vraiment les maths à cette période là. Les maths sont comme le vin rouge au lycée on préfère la bière, et on ne peut aimer ca que si on continue à en boire. L'ingénieur comme choix par défaut Je vais vous donner la réponse, et cela ne fera sans doute pas plaisir à certains. Si vous étiez bon, vous alliez en S C pour les anciens. Cela ne veut pas dire que les autres sont des abrutis, non, ce n'est pas du tout la leçon à en tirer. Ce qu'il faut comprendre c'est que nous sommes influencés dans cette décision. Mais allons encore plus loin et je vais sans doute en énerver d'autres… En Terminale scientifique, où vont ensuite les meilleurs ? Réfléchissez la réponse est évidente. Médecine ? Oui, c'est vrai pour certains. Ma réponse sera la suivante les meilleurs, n'ayant souvent qu'une très vague idée de ce qu'ils veulent faire plus tard, vont en classe préparatoire scientifique autrement dit maths sup / maths spé pour les anciens encore une fois. Oui, je suis gentil, je traduis. 😉 . Guidés par papa/maman, où un professeur de maths qui leur dit Tu es bon, vas en classe préparatoire, ca ouvre plein de portes ! » Tous les taupins », comme on dit, si l'on en exclue la part epsilonesque » qui fera l'ENS ou une formation exotique je m'inclus dedans. la quasi-totalité poursuivra par une école d'ingénieur, et à la sortie de son école sera ingénieur ! logique Alors, la classe prépa scientifique, ca ouvre plein de porte ?? D'une certaine manière oui, parce qu'à côté tout paraît facile et l'on peut facilement aller voir ce qu'il se passe ailleurs j'en suis la preuve vivante. Cependant, cela revient à dire Tu ne sais pas quoi faire ? Alors tu seras ingénieur. ». Je me souviens encore des conseils de mon oncle qui était conseiller d'orientation lorsque j'étais en Terminale et que je me demandais si je devais aller en prépa – Ecoute, Romain, c'est simple. Tu as des bonnes notes ? Oui Tu as envie de travailler ? – Heu… Je sais pas… ben oui – Alors va en prépa C'est ici que je veux attirer votre attention !! L'ingénieur est notre modèle de réussite Premièrement, on nous impose le métier d'ingénieur comme modèle de réussite par défaut. Certes, être ingénieur c'est plutôt un beau métier, avec de belles perspectives de salaire, mais c'est comme cela qu'on se retrouve avec des ingénieurs qui veulent changer de métier… une fois qu'il sont devenus ingénieurs ! Deuxièmement, on nous conseille la classe préparatoire comme une super-terminale qui nous donne le temps de réfléchir à notre orientation, alors qu'en réalité le chemin est tout tracé pour devenir ingénieur et rien d'autre. Troisièmement, ceux qui choisissent cette voie en ayant conscience qu'ils deviendront ingénieurs ne savent pas en quoi consiste ce métier. Le technicien c'est celui qui visse les écrous. L'ingénieur c'est celui qui le regarde faire c'est ca ? » Qui est considéré comme l'élite » de la nation ? Quel est le modèle de réussite de notre société ? Il faut être ingénieur. D'ailleurs dans ingénieur » il y a génie », et dans notre société on place l'ingénieur sur un piédestal. Être ingénieur c'est avoir réussi sa vie. Les preuves de ce que j'avance Cet article à d'abord été écrit avec mon ressenti et mon expérience. Mais pour être sûr de ne pas complètement de planter, j'ai fait quelques recherches et j'ai trouvé une étude de la CDEFI Conférence des Directeurs des Ecoles Francaises d'Ingénieur intitulée La motivation des élèves ingénieurs dans le choix de leurs études qui confirme la plupart de mes affirmations dans cet article ! Quelques chiffres qui proviennent de cette étude 20% des parents des élèves ingénieurs sont ingénieurs eux-même, alors que les ingénieurs représentent 3% de la population totale. Parmi les élèves-ingénieurs, 21 % des garçons et 33 % des filles déclarent ne pas vouloir travailler dans un domaine lié à l'ingénierie à un horizon de 7 ans contre 0 % des garçons et 6 % des filles en Allemagne 63 % des élèves-ingénieurs déclarent ne pas avoir été assez informés sur le métier d'ingénieur contre 36 % en Allemagne Conclusion Merci d'avoir lu cet article. Comme vous l'aurez compris cet article n'a pas pour but de critiquer le métier d'ingénieur, ni de faire renoncer ceux qui voudraient s'engager dans cette voie. J'espère simplement pouvoir aider quelques personnes – peut-être vous ? – à se poser les bonnes questions Est-ce que je veux vraiment être ingénieur ? Est-ce que je fais cela pour faire plaisir à mes parents / à mes professeurs / à mon chien / … ? Qu'est ce qui me plait dans le métier d'ingénieur ? Est-ce que je sais vraiment en quoi consiste le métier d'ingénieur ? Bref, ne faites pas une école d'ingénieur parce que c'est une voie réputée, mais seulement parce que vous aimez ça. Ne laissez pas d'autres personnes décider pour vous Réactions J'avais au départ posté cet article à ma sortie de prépa, et je ne m'attendais pas ce qu'il sucite autant de réactions dans les commentaires... Mon blog n'ayant plus de section commentaire ouverture, je les ai retranscrites ci-dessous 0,03% d'ingénieurs dans la population, cela ferait 20 000 ingénieurs en France… Je pense qu'il y a erreur, il y en a bien plus, sans aucun doute… sinon a raison de 5 ans d'étude et une vie pro de 40 ans, cela ferait seulement 2 500 nouveaux ingénieurs formés par an. Pour info, il y a 50 000 prépas par an dont une partie certes va vers les ESC sans compter les écoles d'ingénieur post bac… Etant moi-meme ingénieur j'aurais du mal à te contredire la-dessus. Pour ma part, j'aimé vraiment les maths et les matières scientifiques mais j'ai été beaucoup dessus par la réalité du quotidien de l'ingénieur…c'est vrai que l'on est pas assez informé des débouchés et la raison est principalement que notre monde évolue tellement vite qu'on ne peut pas vraiment prévoir les métiers à +3ans. Le métier d'ingénieur est dailleurs en mutation permanente et aujourdh'ui on l'associe plus à un métier de manager… Romain Simon 17 décembre 2010 Tiens je ne savais pas que tu étais passé par une école d'ingénieur avant d'être à l'EM Lyon 🙂 Au passage, je me suis permis de t'ajouter sur Viadeo. Il est vrai que l'ingénieur ne reste pas ingénieur en temps que tel et à tendance à évoluer assez vite vers un rôle de manager. D'ailleurs les profils mixtes école d'ingé / école de commerce sont très recherchés par les recruteurs, et beaucoup d'écoles ouvrent avec pour but ce double cursus je pense à l'Iteem par exemple Pour ce qui est des débouchés, j'ai moi même fais deux ans de prépa scientifique parce que j'étais plutôt bon et que j'aimais les sciences, sans même savoir que les concours menaient vers des écoles d'ingénieur ! 🙂 Hartok 17 décembre 2010 Je suis dans l'ensemble d'accord avec l'article ingénieur est souvent un choix par défaut. Mais pourquoi ? Il suffit de faire un petit sondage sur la question du métier d'ingénieur autour de vous. Je doute qu'il y ait deux réponses identiques, tout simplement parce que ingénieur n'est qu'un titre, pas un métier. Au contraire, ce diplôme donne accès à de nombreux métiers chercheur, consultant…. Ce n'est donc pas étonnant que les jeunes ne choisissent pas ce métier par vocation. Le seul moyen de les motiver à se lancer dans cette voie est de leur présenter des métiers type. Les plus qualifiés pour ça sont les ingénieurs eux-mêmes. Leurs enfants ont donc plus de chance de se lancer dans cette voie, sachant ce à quoi leur avenir professionnel peut ressembler. Mais ce n'est pas forcément une mauvaise chose de faire cette formation sans savoir exactement le métier que l'on veut faire. Personnellement, je trouve ça attrayant de pouvoir choisir son métier une fois le marché du travail abordé et changer/évoluer à tout moment. Romain Simon 17 décembre 2010 C'est une très bonne remarque que tu fais là. Tu es ingénieur où élève-ingénieur ? Il est vrai que Ingénieur c'est plus un titre qu'un métier. Par contre, je doute que les enfants choisissent ce métier parce que leur parent, eux-même ingénieurs leur ont expliqué. J'ai l'impression que les parents-ingénieurs ont du mal à expliquer en quoi consiste leur métier et il est d'ailleurs plus facile pour un boulanger ou un plombier d'expliquer clairement ce qu'il fait !. Pour moi les enfants d'ingénieur sont à peine plus informés que les autres et reproduisent seulement le parcours de leur parents. Après c'est sûr qu'il vaut mieux se retrouver ingénieur et se rendre compte que finalement on voulait être boulanger, que l'inverse !! Cependant, ce serait tellement mieux si l'on pouvait se tromper moins souvent, et je trouve qu'il y a un véritable travail d'orientation à faire chez les jeunes. Actuellement celui-ci est fait de manière désastreuse et les conseillers d'orientation, dans les rares cas où les élèves les consultent, sont plutôt des conseillers de désorientation. Je me souviens encore des conseils de mon oncle qui était conseiller d'orientation lorsque j'étais en Terminale et que je me demandais si je devais aller en prépa » – Ecoute, Romain, c'est simple. Tu as envie de travailler ? – Heu… Je sais pas… ben oui. – Alors va en prépa. » Véridique! Hartok 17 décembre 2010 Je suis encore élève-ingénieur bac+4. Les parents ingénieurs n'expliquent peut-être pas leur métier précisément, mais ils racontent leurs journées, parlent de leurs projets… Il reste forcément quelque chose dans la tête de leurs enfants. J'avoue qu'il y a un sérieux problème au niveau de l'orientation. La plupart des conseillers font simplement la correspondance entre le bulletin et la formation correspondante » à leurs yeux. C'est pas surprenant que de nombreuses réorientations aient lieu en post-bac. Mais le vrai problème est ailleurs je pense. La relation entre l'école et le travail est quasiment inexistante. Il est par conséquent difficile de se projeter dans son avenir professionnel, d'autant plus si le métier est peu médiatisé. Personnellement, je ne savais pas exactement ce que je voulais faire en Terminale. Par contre, je savais une chose, je ne voulais pas faire une prépa classique avec concours. 🙂 Galathys 17 décembre 2010 tout simplement parce que ingénieur n'est qu'un titre, pas un métier » Hartok a parfaitement raison sur ce point là. Ton analyse est intéressante mais la fin n'est pas très pertinente ni réaliste par rapport à ce à quoi te forment les écoles d'ingénieur. Etre ingénieur, pour moi, c'est simple c'est être capable d'être une interface entre des gens qui travaillent à un niveau très technique, presque quel qu'en soit le domaine, et les gens qui sont incapables de comprendre la technique ou presque. Et là je viens de décrire une pléiade de métiers chef de projets en tous genres, consultants, ingénieurs réseaux par ex, etc. Le vrai problème se trouve dans le fait que personnellement je n'ai compris ça qu'en plein milieu de mes études d'ingé. Je corresponds bien au profil que tu as décrit. Perso j'adorais les maths au lycée si si je te jure, pour moi c'était un peu l'équivalent de faire du sudoku ;, je suis arrivée en prépa où j'ai compris que je voulais plus faire de sciences DU TOUT, mais j'ai compris en me penchant sur les écoles que beaucoup d'entre elles ne forment pas à un métier orienté uniquement technique ! L'opinion publique a une image fausse de ce qu'est la prépa/les écoles d'ingé/le fait d'être ingénieur. Après je pense que peu d'études autres que les études d'ingénieur mènent à autant de possibilité de métier après. Le mieux étant de faire une école d'ingé qui a une composante marketing/commercial c'est mon cas =. Maintenant je suis diplômée et je suis chef de projet web. C'est très loin de l'image traditionnel d'ingénieur n'est-ce pas ? = Et 40% de ma promotion est consultant… Après, on peut parler de la crise de la trentaine beaucoup d'élèves ingés choisissent un peu une voie par défaut au sortir de l'école, et je les comprends, car la demande est très concentrée au même endroit en ce moment consulting, audit, finance. C'est pas évident. Mais ce n'est pas à imputer aux études qui elles laissent le choix. C'est le monde du travail qui ne laisse pas le choix. Romain Simon 17 décembre 2010 Je suis conscient que ingénieur c'est vaste, et que les perspectives d'évolution sont très variées. D'ailleurs tu as raison, je ne vois aucune autre voie qui offre une aussi large palette de métier, à part les écoles de commerce. Tu semble heureuse dans ton métier, mais il me semble que beaucoup ne le sont pas et ce que je voulais souligner dans cet article, c'est que j'ai l'impression que certains ont été trompés. Au lycée on leur a vendu les classes prépa comme la voie royale », puis en prépa le titre d'ingénieur comme le top moumoute de notre société… Et pour les maths, tu dois être une bête à part 😀 Non plus sérieusement, c'est en prépa que les maths sont devenues douloureuses en tout cas c'était mon cas! en raison de l'écart de niveau en terminale et maths sup. Mais si tu aimais les maths, tu aurais très bien pu faire deux ans de prépa, puis poursuivre à la fac et faire un doctorat en maths; mais la fac c'est le mal. Aller à la fac après une prépa c'est un peu considéré comme avoir raté ses études ! Silice 17 décembre 2010 Oh mais non, les meilleurs vont en prépa soit mais pas forcément en prépa scientifique, ben ouais prépa HEC c'est plutôt pas mal aussi =P. Pas très intéressant mon commentaire, non, je voulais ajouté que j'étais totalement d'accord, déjà on a un sérieux problème au niveau orientation en France, je pense que beaucoup d'élèves s'engage dans une voie sans savoir ni les débouchés ni en quoi consiste leur futur job et sinon en tant que ancienne S Science de l'ingénieur avec 3/4 de ma classe qui a filé en prépa maths, je peux le dire la prépa maths comme toutes les prépas en générale c'est le magnifique choix par défaut mais de là à dire que les meilleur vont en maths, pour la S, je conçois, c'est assez vrai mais pour après le bac, je suis moins d'accord, beaucoup d'élèves qui peuvent aller en MP, PT, PC préfère choisir une autre voie parce qu'ils ne sont ni attirer par la physique, ni par les science de l'ingénieur ou parfois même par les maths. Après, je ne suis pas en école d'ingé =. Romain Simon 17 décembre 2010 Quitte à troller un peu sur mon propre blog, je vais dire que le prépa HEC est loin d'être aussi dure que la prépa scientifique ! Je me souviens encore dans ma prépa des épiciers qui sortaient tous les jeudi en boîte 🙂 🙂 Mais par contre les élèves ingénieurs ne sont pas plus sérieux que les étudiant de business school j'en suis persuadé ! Une fois la pression des 2 voire 3 ans de prépa retombée, c'est la relâche la plus totale pour la majorité ! Ceux qui ont le niveau pour aller en prépa et qui n'y vont pas, c'est à mon avis parce qu'ils ont entendu tellement de choses horribles dessus qu'ils sont effrayés. C'est d'ailleurs assez marrant que l'on nous pousse à aller en prépa tout en nous répétant que ca sera horrible et que l'on va devenir des nolifes pendant quelques années si on ne se suicide pas avant….. En fait je dirais que les meilleurs, à quelques exceptions près, de S vont en MPSI, PCSI, ou parfois PTSI, les meilleurs de ES vont en prépa éco, et les meilleurs de L vont en hypokhâgne. C'est un peu caricatural mais ca ne doit pas être si loin que ca de la réalité ! Malgré toutes les critiques que l'on peut émettre sur l'orientation, j'ai l'impression que les choses ne peuvent que s'améliorer en même temps vu l'état actuel, ca ne peut pas empirer…. Non pas grâce aux conseillers d'orientation, mais grâce au net puisqu'on trouve de plus en plus d'infos et notamment des vidéos-métier. Espérons que celles-ci deviendront plus complètes qu'un simple interview. Tu es passée par une école de commerce Silice ? Silice 17 décembre 2010 Je suis actuellement en prépa commerce en fait ! Et y a des prépas commerce qui sont très très dure pas la mienne, soit…, chez moi, idem y en a qui se font pas mal de soirée en semaine mais ce ne sont pas les meilleurs faut l'avouer ! et c'est très caricatural ton système, dans le sens qu'en S, comme tu le dis si bien, c'est en générale les meilleurs secondes et donc il y a presque autant de bon en littérature en S qu'en L, tout ça pour dire que certains S vont en prépa littéraire ou commerciale de plus je crois qu'il y a plus de ECS que de ECE pour les prépas commerce -enfin j'en suis pas persuadée mais dans ma région c'est le cas-. Mais après c'est sur que les prépas c'est l'élite bien que lorsque je regarde certains prépas, je me dis que l'élite de demain ne nous annonce pas un avenir radieux… avec la fac de médecine et de droit… Bon après comme tu l'as si bien dit, les classe prépa, c'est aussi des paniers fourre-tout où tu mets tous ceux qui ont un peu d'estime d'eux-même quoi que… et qui ne savent pas franchement ce qu'ils veulent faire. Romain Simon 18 décembre 2010 Pour résumer, la prépa c'est pour ceux qui ne savent pas ce qu'ils veulent faire et qui veulent bien travailler. La fac c'est pour ceux qui ne savent pas ce qu'ils veulent faire mais qui ne veulent pas travailler. 😀 Hatim 18 décembre 2010 Tout à fait avec toi sur ce point ! Même ici au Maroc c'est la même chose, ingénieur est un choix par défaut pour ceux qui soit disant bossent bien. En terminal, on a la filière SM siences maths où tout les bon élèves y compris ceux qui n'aiment pas vraiment les maths vont pour décrocher leur bac et aller faire des prépas puisque qu'ils ne savent pas quoi faire exactement, et qui, comme tu as cité, leur ouvrent plusieurs portes par la suite à leur avis. Cependant, après les prépas, il n y a possibilité que d'écoles d'ingénieurs, de toutes sortes et de toute spécialités. Peso, je n'ai pas opté pour ce choix, j'étais brillant au lycée certes, mais je ne me voyais en aucun cas ingénieur ^^ Romain Simon 18 décembre 2010 C'est marrant, cela se passe un peu de la même façon au Maroc qu'en France, alors qu'aux Etats-Unis par exemple toutes les filières sont plus où moins sur un même plan puisque tout le monde va à l'université ! D'ailleurs ils ont des drôles d'idées de nommer les sections scientifiques SM » p Loin de moi l'idée de dire qu'il faudrait tuer le système de classes prépa parce que ailleurs c'est mieux ca je n'en sais rien cela serait d'ailleurs impossible à mettre en œuvre, et sans doute inutile… Martin 3 janvier 2011 0,03% d'ingénieurs dans la population, cela ferait 20 000 ingénieurs en France… Je pense qu'il y a erreur, il y en a bien plus, sans aucun doute… sinon a raison de 5 ans d'étude et une vie pro de 40 ans, cela ferait seulement 2 500 nouveaux ingénieurs formés par an. Pour info, il y a 50 000 prépas par an dont une partie certes va vers les ESC sans compter les écoles d'ingénieur post bac… Romain Simon 3 janvier 2011 Tu as raison, il y a un problème. Je me suis fié à ce document et après vérification, il y a bien environ 30 000 ingénieurs diplômés… mais par an. Le document ne le précisait pas et je me suis fais avoir lamentablement… Merci à toi Martin, je vais corriger l'article ! Lark 27 juillet 2011 Cela ferait donc grossièrement 2% de la population qui est ingénieur. Romain Simon 19 août 2011 Oui c'est à peu près ça, 2,4% de la population en 2009 Fallen 19 janvier 2011 Je suis à 200% d'accord avec chaque mot de cet article je suis moi même ingénieur diplômé en informatique/multimédia. J'étais bien sûr doué en science au lycée, et bien évidemment j'ai eu droit au Prépa/ingé ça ouvre plein de portes ! ». En gros, pas la peine de te creuser la tête sur ton avenir, ça viendra tout seul ! De là le cycle classique MathSup/Spé puis admission dans une Ensi pour faire de l'info, ce qui finalement me semblais être une bonne idée. Les 3 années de cours sont passées plutôt vite, et furent enrichissantes, bien que les premiers stages en entreprises firent retentir les premières alertes . Après une année à bosser dans une entreprise à l'issu de mes études, et accessoirement à se faire chier comme un rat mort à son poste, en vivant dans un ville où l'on ne connait personne, c'est la bonne grosse remise en question, avec à la clé la reprise d'études … arrêtées au bout de 4 mois. Désormais, flou artistique intégral, qui me laisse à penser que la priorité numéro un aujourd'hui, c'est l'orientation. C'est ouvrir l'éducation au monde du travail, c'est faire découvrir aux élèves les enjeux des futurs postes auxquels ils désirent prétendre. C'est leur donner à s'intéresser à un futur métier, et non pas à un futur diplôme. Parce que finalement, ce manque d'intérêt pour l'orientation ne m'a finalement pas pousser à me poser les vraies questions j'étais sur des rails, confortablement assis, filant droit à ma perte en croyant décrocher le seul sésame qui en vaille la peine avoir son beau diplôme et sa belle situation. Bref c'est le bordel, et c'est pas facile de voir clair. Bon après soyons lucide, à 24 ans avec un diplômé d'ingé en poche, y'a pire comme situation. Ne reste plus qu'à trouver le prochain cap. Romain Simon 19 janvier 2011 Merci Fallen pour ce témoignage très intéressant ! Suite à cet article, je ne ne compte plus les visiteurs qui tombent sur mon blog en cherchant sur Google de moins en moins d'élèves veulent devenir ingénieur », je n'aime pas le métier d'ingénieur », le métier d'ingénieur ne me plait pas », etc… Si le métier d'ingénieur ne te plait vraiment pas, il ne faut pas en rester là. Heureusement, beaucoup d'opportunités s'offrent à toi – Tu peux évoluer très vite vers un poste de management – Tu peux devenir entrepreneur et monter ta boîte. Avoir un background d'ingénieur est un énorme avantage, et qui plus est en informatique. Si tu envisages cette voie, n'hésites pas à m'envoyer un mail pour en discuter – Tu peux carrément changer de métier, devenir consultant, devenir prof en lycée où même en prépa et là tu pourras mettre en garde les élèves ;, … Bon courage à toi, en espérant que tu reviennes partager tes évolutions de carrière. INCONNU 5 mars 2011 Je trouve Romain Simon super mignon il me fait craquer !!!!!! Déja plein le cul de l'école, j'ai tout juste 10 de moyenne général => tu devrai faire une formation scientifique, il y a du boulot ! les littéraires, il n'y a pas de boulot, ça sert à rien. ok ça marche ! » – 2010 DUT SGM => si ça me saoule => je regarde les formations de cuisine, mais non continue, il va y avoir du travail après ça, tu aura au moins un diplôme ! », bon oke ça marche !! – 2011 Licence en matériaux à l'étranger => c'est pas mal ici, j'apprends l'anglais mais c'est tout, le reste je m'en fou, mais que faire ensuite ? tout le monde part en école d'ingénieur, ça a l'air le bon chemin à suivre. C'est beau, c'est magnifique. Allé feu ! – 2012 École d'ingé => ça me saoule, mais continue, persévère, les autres années sont plus faciles, ensuite tu vera. OKé allé ! c'est partit. – 2014 => Obtention du diplôme d'ingénieur, test en entreprise en stage de 6 mois, mais qu'est ce que je fous là derrière mon putain d'ordi ??? cela ne m'intéresse pas du tout, olala que faire ?!! » – 2014 => fuite à l'étranger en Australie, mais retour rapide en France courant novembre. Je vais faire charpentier. Je me renseigne pour les CAP / BEP, c'est trop tard. Il est dur de changer du tout au tout. – 2014 => Mon entourage me conseille tout de même de chercher un post d'ingénieur, que c'est dommage quand même. je cherche un poste à reculons pdt 2 à 3 mois. Puis j'abandonne. Je ne veux pas être ingénieur. Mes parents acceptent mais je me sens seul, livré à mon propre sort. En réalité je ne sais pas trop qui je suis et ce pour quoi je suis fait. – 2015 => Pas besoin de savoir résoudre des problèmes de maths pour savoir que la solution à mon problème est de trouver CE métier qui ME correspond, en accord avec MES aspirations. – 2015 => bilan de compétences seul avec un petit livre. voir un psy, CIO, conseiller d'orientation. RECENTRAGE, RÉORIENTATION. Ce que j'aime c'est la nature / le sport / l'alimentation / la nourriture / les bons produits / la campagne / l'art et le dessin. J'ai pensé à – Cuisinier => trop difficile, trop d'heures selon les gens. J'abandonne. Moi j'aime bien cuisiner chez moi, sans être presser. – Accompagnateur en moyenne montagne => la formation se fait en parallèle d'une autre activité par modules de quelques semaines – Paysagiste => J'aime bien la création d'espaces verts, l'art, la diversité des plantes et travailler en extérieur comme en intérieur. La création c'est paysagise DPLG à son compte c'est 3 ans après un bac +2. Etre dehors, c'est CAP/BEP/ BAC pro. Je viserai entre les deux BTS – Horticulteur maraichage => Diversité des végétaux / Nature. Moins de débouchés que paysagiste. – Agriculteur => m'intéresse mais trop peu de temps libre. – Fleuriste => Aspect créatif / Plantes mais recommencer en CAP. – Moniteur de ski => 5 ans. Trop long pour l'instant. – Dessinateur => Bouché – 2015 => plutôt métier manuel ou réflexion ? un peu des deux. évitons de redémarrer au niveau du CAP, j'ai un bac +5, autant le valoriser un minimum. – 2015 => 25 ans / Inscription à 2 diplômes en 1 an – BTS Aménagements paysagers + licence aménagements du territoire en continu/ BTS Horticulture en alternance. – 2015 => Divers missions d'intérim pour découvrir différents métiers et stages via pôle emploi et afin de choisir ma voie. Voilà un petit résumé condensé de mon expérience… Il est vrai, qu'il est très important d'avoir les parents avec soit dans cette démarche de réorientation. Si vous avez des questions, n'hésitez pas. JJ Thierry 20 mai 2015 Salut, Franchement un grand bravo pour avoir eu le courage de te lancer dans une nouvelle voie. Donc si j'ai tout bien suivi, aujourd'hui tu suis les deux BTS c'est ça ? Tu ne regrettes pas d'avoir abandonné l'ingénierie ? Alain 25 mai 2015 Bonsoir à tous, Effectivement, comme disait Vermillone, on se sent bien ici ! L'impression d'avoir les oreilles qui comprendront réellement l'angoisse profonde et même la réelle détresse dans laquelle nous sommes tous. Il faut dire aussi qu'on est confronté à des questionnements majeurs dans la vie d'un individu et que nous sommes parallèlement contraints par les nécessités simplement matérielles ainsi que généralement par l'entourage dont l'inquiétude transpire par tous les pores de leur peau. Du coup, ça m'a mis dans de bonnes dispositions pour vous parler de ma petite histoire, qui finalement ne sera qu'un témoignage supplémentaire, avec les mêmes questions à la sortie et la même absence de réponses. Après un baccalauréat scientifique, je me dirige vers une prépa MPSI, sans me questionner de quoi que ce soit. Je ne me suis posé aucune question pour deux raisons 1. j'aimais sincèrement les sciences je n'avais pas encore compris que le savoir que l'on reçoit de l'école est en fait un savoir éclaté, parcellaire, inutilisable. C'est un savoir qui n'émancipe pas puisque nous sommes contraints d'exercer dans des structures entreprises, Etat qui ont les outils qui permettent d'utiliser ce savoir. j'ai été poussé par tout le monde à faire des sciences. Tout ce qui n'était pas à dominante maths/physique n'était pas sérieux. Et tout le monde y allait du partage de sa croyance prof, parents, médias, auto-conviction entre élèves. Bref, prépa MPSI, puis MP, puis re-MP bonus puis école d'ingé. Et idem, je me suis dit, en prépa t'en chies mais après les cours seront sympathiques, le boulot sera comme tu aimes et bien payé, ta position sera très bien vue dans la société et par les banques, ravies d'avoir de bons clients. » Pendant cette formation d'ingénieur, j'attendais qu'on me donne les moyens de comprendre les choses, par exemple qu'on m'explique le fonctionnement de systèmes globaux. En fait, j'attendais une synthèse de toutes les micro-connaissances accumulées. Aligner et résoudre des équations à la main, ça va un temps. Pourtant, ils y tenaient à leurs équations… Et quelle déception. Je connais des trucs d'une infinie précision sur la combustion d'un gaz dans un moteur à explosion grâce à des équations que je ne comprends pas mais ce n'est pas nécessaire me rassure-t-on, mais je suis incapable de t'expliquer réellement et simplement comment et pourquoi une voiture roule. Je crois d'ailleurs que ma plus grosse déception est venue des travaux pratiques qui n'étaient que du traitement d'une grande quantité de données, toujours pressé par le temps et par l'impossibilité de pleinement saisir le fonctionnement du système étudié puisqu'il fallait vite accumuler des données, les traiter, faire des moyennes, des extrapolations, des régressions linéaires, des graphiques, des conclusions, montrer que tel ou tel paramètre est décisif et rendre le tout le plus possible pour se tirer le plus vite possible. Les heures supplémentaires, on verra ça en entreprise quand on sera payé. Et je suis aussi totalement d'accord avec Thierry, ce n'est pas nécessaire de se passionner, ni de comprendre ce qu'on fait pour être diplômé. Être présent aux examens suffit presque. Il y a là une inquiétante faille. En entreprise, faire acte de présence ne peut pas être considéré comme un minimum, il faut pondre un truc, donc réfléchir et pas à moitié, ce n'est pas possible. Au bout de deux ans de calvaire, j'ai eu la possibilité de faire une année d'études au Canada. J'ai vécu cette année comme une parenthèse enchantée. Les questionnements professionnels sont passés totalement à la trappe, non pas parce que là-bas c'est le paradis pour les étudiants ingénieurs quoique la formation est à mon sens de bien meilleure qualité, beaucoup plus appliquée que chez nous, mais parce que je menais une vie épanouie à tous égards. Cependant, au retour en France, et après le stage, les questionnements sont revenus avec plus de force que jamais. A ces doutes, se sont superposés des éléments sur la société qui m'ont amené à remettre en cause le système dans lequel nous vivons, et notamment la notion fallacieuse de développement durable totalement oxymorique. Superposition d'un questionnement professionnel personnel à un questionnement sur le sens de la vie dans notre société. Dur à gérer tout seul ». Après quelques mois passés dans un bureau d'études à travailler sans passion, j'ai décidé d'arrêter et je suis maintenant paumé complet. Je suis tenté par plusieurs choses – la permaculture cf. Eric Escoffier. Voilà du savoir émancipateur ! – voyager, voir autre chose, partir à la découverte d'autres cultures. Visiter des pays en période de renouveau qui croient en l'avenir Russie, certains pays d'Amérique du Sud – l'éducation populaire pour faire bouger les choses » – monter une librairie Malgré l'acceptation de l'idée selon laquelle mon diplôme ne me servira plus, je n'ai de puissante passion de substitution. On dit souvent vous êtes trop exigeants ». Je ne pense pas que se sentir bien, juste bien, soit une exigence rare. La boule au ventre à 25 ans pour un travail qui en plus ne me mettait pas la pression ! C'est ça être exigeant » ? En fait, je crois qu'on en a déjà trop et la vie perd ainsi son sens. Peut-être qu'on a poussé trop loin la rupture homme / nature et que notre environnement est intrinsèquement insatisfaisant. Quant à ceux qui s'y plaisent ou s'y adaptent, cela reste un mystère pour moi. Une question de temps peut-être. On ne pose pas tous les questions essentielles au même moment et nous n'avons pas tous la même façon de répondre à nos besoins. Et puis le coup de tu te poses trop de questions » est aussi assez exaspérant. Naturellement, si j'étais bien, ces questions ne viendraient pas à moi. C'est simplement révélateur de l'état d'incertitude dans lequel je suis. Que faire alors ? En parler, échanger pour se déculpabiliser. Se rencontrer idéalement. Se motiver dans nos désirs respectifs et pourquoi pas faire émerger une réalisation concrète entre désabusés de l'ingénierie ? Au plaisir d'en discuter. Prenez soin de vous. Alain. Thierry 27 mai 2015 Bonjour Alain, Belle intervention, qui encore une fois confirme ce qui est écrit dans cet article et dans ses commentaires. Ton année au Canada ne t'a pas ouvert de nouvelles pistes ? Cela ne t'a pas donné des idées ? Perso je n'ai pas fait d'année à l'étranger durant mes études je voulais faire le strict minimum pendant cinq ans et j'attendais la fin de ces études avec impatience et je le regrette amèrement maintenant. Quoique je ne suis pas sûr que cela aurait changé grand chose à la situation actuelle. C'est marrant j'ai un peu les mêmes idées que toi, j'aimerais beaucoup tout lâcher et partir en voyage, ou travailler dans une boulangerie / pâtisserie, ou faire photographe, bref des trucs complètement à l'opposé de la formation. Mais aucune de ces passions n'est motivante au point de franchir le cap. Comme tu le dis, on se pose bien trop de questions. On réfléchit trop. C'est ce qu'on veut nous faire croire. De mon côté on me dit souvent que ma première expérience en tant qu'ingé s'est peut-être mal passée, mais que ce n'était qu'une expérience, que tous les postes ne sont pas pareils, qu'ailleurs cela sera différent. C'est sûr, mais encore faut-il trouver un ailleurs. Encore se laisser berner par une offre … Toutes ces études nous font nous écarter de plus en plus de la vraie vie. On s'enferme pendant cinq ans dans une bulle d'équations, de mathématiques, de mécanique, sans arriver à en faire le lien avec la réalité. Souvent en rigolant on se dit bla bla on s'en servira jamais de ces équations », je pense que c'est loin d'être faux. C'est un peu pareil quand on regarde les offres de postes d'ingénieur, quand on cherche concrètement en quoi le boulot va consister. C'est souvent bien loin de la réalité. Désolé si je pars un peu tous azimuts dans mes réflexions, mais il y a beaucoup de choses qui me passe par l'esprit en ce moment. Bonne journée John 13 juillet 2015 Comme tous ici, je suis moi aussi face à cette remise en question de mon orientation. Comme la plupart, j'ai suivi le même chemin très bon élève au lycée j'ai suivi la filière S. Assez intéressé par les sciences moins par le reste sans pour autant être mauvais, ne sachant absolument pas que faire de ma vie, je farfouillai donc un peu partout sur le net et écoutai quelques avis de mon entourage les COP ne servent pas à grand chose et le lycée ne nous aide pas plus que ça. Ne voulant pas gâcher le brillant parcours que j'avais fait jusque là, ce serait dommage d'arrêter les sciences maintenant et comme je suis assez ambitieux je serais donc ingénieur métier de l'élite, pouvant se spécialiser dans bon nombre de domaines j'ai encore le temps de choisir, je repoussais donc l'échéance, avec de plus un beau salaire, ce qui me permettra de ne pas galérer comme mes parents…. Avec des moyens assez modeste, je me tourna vers les écoles publiques et plus particulièrement l'INSA et celle de Lyon, non pas pour sa renommée mais pour sa proximité et je pense d'ailleurs que d'autres INSA ont certainement plus de mérite que celle de Lyon… mais ce n'est pas le sujet. Dans les meilleurs des 15000 demandes APB, je fus convoqué à l'entretien durant lequel j'ai blablaté un peu, justifiant d'une grande motivation, sans vraiment penser tous ce que je disais, mais enfin bon, entrer à l'INSA quoi, vous vous rendez compte ! Mes voeux furent donc l'INSA Lyon, des DUT et la FAC… la prépa, euh je suis un peu retissant mais j'en ai mis une tout de même. Accepté à l'INSA, grosse joie… vint l'inté, phénoménale… puis la rentrée, grande désilusion. Rien que les pseudo-révisions » de Terminal me donnaient des maux de tête. Les jours passèrent et je ne comprenais rien de rien et j'avais l'impression d'être le seul dans cette galère. L'éfficacité du système Coursauxquels personnes ne comprend rien-TD-TP est lamentable, ne me plait pas mais c'est surtout le contenu. Mais qu'importe je m'accroche, je passe le premier semestre avec 11 de moyenne grâce à l'informatique et le sport rares matières qui me plaisent encore puis continu à pas mal travailler au second pour obtenir à peine moins en ayant cependant bien moins bossé qu'au premier car de moins en moins motivé, mais travail régulier. La moitié du temps consiste à me dire Qu'est-ce que je fais là ? ». Une fois je veux arrêter mais le lendemain je me remotive en me disant que ce serra mieux en département et que ce n'est pas forcement plus facile ailleurs dans un autre domaine et dans une autre école John 14 juillet 2015 [SUITE DU RECIT] Arrive la fin de l'année, je ne révise pas mes partiels mais réussi à passer en deuxième année tout de même grace à un travail régulier insuffisant en réalité mais suffisant à la moyenne et grace à la magnifique harmonisation des notes. Actuellement en vacances j'hésite encore à poursuivre l'année prochaine car pour avoir rencontrer différents ingénieurs, ce métier ne m'attire pas plus du tout et les sciences de moins en moins ; mais je ne sais pas du tout où me réorienter. En ce qui concerne le système, l'accompagnement des élèves et de leur orientation après le lycée est totalement à revoir, presque inexistante. On insiste pas assez sur le fossé le gouffre qu'il y a avec l'enseignement supérieur. L'entourage, la famille et même la société fait qu'aujourd'hui, comme disent certains on fait des études pour un diplôme BAC +.. et non plus pour un métier car si on a l'opportunité, la possibilité et les capacités, il faut faire des études qui permettent d'avoir un métier qui rapporte un bon salaire au détriment de notre réelle volonté et notre futur épanouissement dans notre travail. Enfin le système éducatif français n'est certes pas le plus mauvais, mais n'est de loin pas le meilleur. L'égalité des chances n'est qu'une illusion même si on fait tout pour, le niveau à la sorti du BAC ne fais que diminuer énormément tandis que le taux de réussite progresse. La quasi totalité du programme de maths de première année de prépa était vu au lycée il y a 30ans. Le jugement du niveau de l'étudiant via des moyennes est erroné, et la barre limite de 10/20 est un réel problème cela pousse l'étudiant à se contenter du minimum, à travailler juste le sujet de l'interro parfois unique sur un semestre, ce qui conditionne la moyenne, entrainant des niveau de plus en plus déplorable des étudiants qui pourtant pourront continuer sans aucun problème en travaillant juste ce qu'il faut au bon moment. De plus le système m'a encore plus choqué lorsqu'il s'agit du réajustement des notes en ce qui concerne l'INSA et ce n'est certainement pas le seul, il y a l'harmonisation des notes à la fin la moyenne de promo est à 12 avec un écart-type faible afin de justifier de l'homogénéité du bon niveau des étudiants. C'est ainsi qu'une personne avec 15 se retrouve à 12,5 et une personne à 9 finie avec 11… motivant n'est-ce pas ? De plus alors que je pense que la moitié des étudiants et je m'inclus dedans n'ont pas le niveau et ne mérite pas de continuer, afin de garder un certain pourcentage d'étudiants, seul les 5-10% les plus mauvais seront exclus, ainsi, ceux qui auraient été exclus des années en arrières, poursuivront sans encombre, trainants petit à petit le niveau vers le bas. La politique de chiffre est ici effrayante et on comprend mieux pourquoi c'est la 1ère école POST-BAC. Heureusement, il reste tout de même un nombre de gens passionnés par ce métier, et nous devrions les laisser travailler et étudier en arrêtant de se peindre de nos erreurs. Cependant, il est important de soulever tout ces problèmes quant à l'orientation et l'illusion que l'on fait miroiter au élèves de lycée sur le métier et les études d'ingénieurs. Il faut faire bouger les mentalités et faire accepter le fait que ce n'est pas parce qu'on est bon que le métier d'ingénieur est fait pour nous. Il faut aussi alerter sur les modalités de contrôle des acquis et du niveau qui est renvoi une image de l'étudiant très éloigné de la réalité. Smd 11 septembre 2015 Je suis passé par là aussi. J'ai été admis à l'INSA mais j'ai vite déprimé. Ca m'a choqué d'apprendre qu'en école d'ingénieur les cours se font en amphi alors qu'à la fac ils sont fait en salles de TD... J'ai validé comme toi ma première année grâce à l'informatique j'étais plutout passionné et doué mais j'ai fini par tout détester et laisser tomber les cours. Je regrette ne pas avoir fait prépa, je n'aime pas bosser juste pour passer à l'année suivante. Lat 26 janvier 2016 On dit j'ai fait » * Plne 30 janvier 2016 Bonjour à tous, C'est dingue le nombre de sujets disponibles sur internet avec une simple recherche réorientation ingénieur » ou je n'aime pas le métier d'ingénieur ». J'ai trouvé l'article ici présent, ainsi que les différents commentaires, à la fois rassurants je ne suis pas la seule!, mais terriblement déprimants au vue du métier non épanouissant. Aujourd'hui, je me rends compte à quel point on n'insiste pas sur toutes les possibilités d'orientation, et surtout le peu de temps consacré à celle-ci. Malheureusement, les conséquences de plus en plus terrifiante de la mondialisation, font que le système éducatif, les écoles, prépa, facultés, la presse … trouvent des arguments laborieux pour créer de plus de postes d'ingénieurs métier de demain », métier technologique », métier à responsabilité », polyvalent ». Bref, des arguments vastes, suffisant pour un lycéen ou ses parents anxieux sur l'avenir économique. Je pense aussi, que s'il y a un réel attrait pour un domaine en particulier, une passion pour une thématique scientifique » ou d' »innovation », alors la formation peut-être vraiment intéressante, également la faculté, qui laisse entièrement place aux matières scientifiques. J'ai suivi une formation dans une école d'ingénieur, moins prestigieuse, et public également, le constat est exactement le même que le commentaire du dessus. A bon entendeur. Xavier 18 février 2016 Bonjour, J'ai 38 ans, en couple, 2 enfants, ingénieur d'une école publique parisienne depuis 2002. L'article reflète bien la réalité. Voici brièvement mon expérience L'école polytech paris faisant partie d'une université pur et dur Paris 6, il n'y a dans cette école aucun lien avec l'entreprise. Le programme de la formation n'est pas construit pour répondre à un besoin économique mais uniquement pour combler des cases vides et mettre des créneaux horaires à des professeurs. Et pourtant, nous en avons appris des choses….Une multitude. Sous le prétexte très flatteur qu'un ingénieur généraliste saura tout faire et deviendra un grand manager. Que répondre à cet argument quand vous êtes étudiant ? Rien. C'est seulement une fois diplômé et confronté à la réalité du marché que je me suis rendu compte de la réalité nous n'étions pas prêt pour aider une société à se développer. L'école n'étant pas suffisamment spécialisée dans un domaine, nous n'avions aucun atout. Le programme de formation est une façade. Une belle publicité que l'on vend pour attirer les abeilles. J'ai du me réinscrire à la fac 1 an après mon diplôme pour me permettre de faire un nouveau stage dans l'espoir d'y trouver un emploi. C'est donc grace a ce stage que j'ai fini par m'intégrer dans une entreprise. Mal payé pour beaucoup de travail donc déçu…car ma mentalité française n'était pas adaptée au secteur privé et à ce que l'on m'avait vendu ». Je ne connaissais finalement rien au métier et j'avais en face de moi des chefs d'entreprise de 50 ans qui avaient besoin de défendre la pérennité de leur société. L'apprentissage a été douloureux. Mais je voulais à tout prix rentabilisé » mon diplôme. Il devait servir à quelque chose. Embauché en CDI par la suite, payé 1400€ net pour travailler de 8h à 20h dans une multinationale du BTP, j'ai découvert un métier et un milieu que je ne connaissais pas le bâtiment. Sans le comprendre, je me suis battu pendant 6 ans pour travailler dans un milieu qui ne correspondait pas à ma personnalité. Inutile de vous expliquer pourquoi. Je pourrai en écrire un livre. Car le milieu du BTP n'est pas mieux que celui des fonctionnaires. Aux antipodes des fonctionnaires. Mais le message que je veux faire passer, c'est le pire qui me soit arrivé a été de faire une formation d'ingénieur sans connaitre le métier qui m'attendait. » J'en veux plus au service publique pour cela que pour vendre » une formation fantôme sans déboucher. Après 6 ans de BTP, j'ai repris des études de droits et finalement après un bac+4 de droit en cours du soir, j'ai développé mon entreprise. Pendant 5 ans. Sans aucune aide. Que des barrages de l'administration. Nouvelle deception aujourd'hui. Malgré 100k€ de CA, je me rend compte aujourd'hui que les charges coutent chers TVA, cotisations salariales, patronales…, que le juridique rends le développement d'une entreprise très compliqué, très périlleuse et que paradoxalement il est très dur de trouver des gens pour travailler en France. Il est peut être encore plus dur de trouver des gens pour travailler en respectant toutes les lois françaises que de trouver des clients. J'en suis arrivé à la conclusion que j'allais arrêter cette activité. Malgré 100k€ de CA. Je vais donc retourner une nouvelle fois à pole emploi. Sans savoir ce que je vais faire. Avec un diplôme d'ingénieur et un bac + 4 de droit. Je sais par experience que ca va être très très dur. Vous pensez certainement que je suis un illuminé. Je me pose la question aussi, parfois. Oui, je suis perdu. Mais quand je vois ce que sont devenus mes amis d'école d'ingénieur, je me dis que finalement je n'ai pas à me plaindre. Combien se sont ré-orientés dans la fonction publique et vivotent pour toucher un salaire ? Combien sont partis à l'étranger dans l'espoir de vivre ce qu'il ne peuvent pas vivre ici ? Combien sont au chômage ? Combien se sont réorientés ? La très grande majorité. Et beaucoup galèrent. Finalement, aujourd'hui, pour l'instant, je ne suis pas le plus à plaindre. Xavier 18 février 2016 A oui, j'oubliais, les estimations de salaires à la sortie de l'école sont mensongers. les secrétaires envoient un e-mail aux anciens élèves pour leur demander leur salaire. 80% des anciens élèves ne répondent pas. Normal quand tu es en réorientation, en stage ou au chômage après avoir supporté une multitude de cours inutiles enseignés par des illuminés, tu ne souhaites pas répondre. Il reste 20% de chanceux ou de diplomés qui enjolivent. Voila comment a la sortir de l'ecole, le salaire moyen est de 42k€. brut pas net… Et ils n'ont pas honte. C'était déjà le cas il a 15 ans. Alors aujourd'hui avec la crise, je n'ose pas imaginer la différence entre la réalité et la fiction de l'administration. Rien que de l'écrire, mon cœur se mets à battre à 200 à l'heure. Une honte de l'administration qui défends son petit enseignement misérable. Youri 4 avril 2016 Salut ! Au cas où tu vois ce message, ça m intéresserait de savoir quelle à été la suite du coup pour toi ? Je vis un peu la même remise en question. 7-8h par jour à travailler des documents devant un PC… Pas sur de le supporter longtemps. À+ Jonas 13 avril 2016 Bonjour, Je n'est que 19 ans heureusement ? et me reconnais dans beaucoup de témoignages. Pour faire court car très semblable à d'autres pas de parents ingénieur ou qui m'ont poussé mais j'ai fait BAC S puis une prépa à Polytech Orléans par défaut évidement, deux années plutôt agréables car très loin du travail fourni en prépa classique malgré un ras-le-bol du travail inutile, et une vie étudiante remplie, des amis, une grosse activité sportive de danseur qui ne m'ont pas laissés énormément de temps à la remise en question … Viens ensuite le choix de ma spécialité à cette 2ème année au moment ou j'écrit et un flou total, au premier abord une envie de faire des énergie renouvelable, durable ma réflexion disait t'aime bien les sciences et t'est écolo => Energie renouvelable mais je me rend compte que c'est très difficile à viser. Et si il n'y avais que ça … C'est utopiste mais j'était parti en voulant trouver un taf qui concilie temps libre/temps de travail oui j'avais l'espoir qu'ingénieur pouvais faire ça car ma bête noire est la semaine à 5/7 à 8/20h qui aurait le talent de rendre quelque chose de vaguement intéressant à insupportable . Mais surtout j'ai depuis la lecture de toutes ces orientations foireuse » la grande peur de tomber sur un taf ou je vais me faire chier comme un rat mort » et chaque vidéos, témoignages, informations, me pousse à croire que l'ingénieur est là pour ça gestion de projet, bureau d'étude, management…. je cherche en vain dans la multitude un poste qui pourrait être intéressant ET agréable c'est à dire ne pas passer ton temps à gérer, calculer, tester, formater, vérifier, contrôler. Alors que faire ? aller au bout et essayer de décrocher un job vraiment sympa pas trop sur l'ordi même si j'aime l'info, pas trop de responsabilité, pas trop de de calculs, analyses, conceptions, plus de relationnel. Ou bien juste se rendre compte qu'on à fait 2 ans pour rien et chercher autre chose, mais il est si dur de se remettre en question et de repartir à zéro. Alors voila j'ai envie de tout plaquer comme je disais parfois a des amis en rigolant, et partir à la découverte du métier idéal, en effet, à l'opposé de l'ingénierie, j'adore la philosophie, les comportements, le relationnel, la pédagogie, … et un des commentaires précédents celui de Karim m'a fait penser à prof de math/physique, auquel je n'avais que vaguement réfléchi, je serait alors ravi d'être aussi heureux que lui si ce futur est le mien, espérons le… Mais pour l'heure je suis tout aussi paumé que pas mal de monde ici et l'idée d'une année sabbatique de recentrage me flirt beaucoup l'esprit. Alors à tous ceux qui veulent discuter, je suis ouvert à parler orientation, futur, passions, choix, flou intersidéral de mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir foutre de mes 30 putain de prochaines année pour être heureux » qui rime pour ma flemmarde personne avec temps libre malheureusement etc. Je suis en accord avec beaucoup de monde sur le peu d'information apportée au lycée et la désinformation générale, accouplée, nous devons le reconnaître, d'une non vérification de notre part, ou de ce quelque chose qui nous pousse à croire que l'on réussira à s'adapter sans en voir la réalité, sans chercher à se dire, mais si ça se trouve… ça va être nul ce boulot ! ». Enfin voila je mesure la chance que j'ai d'ouvrir les yeux et de peut-être à tort ? ne pas gâcher mes trois ou quatre prochaines années dans des études et un boulot qui me feront regretter la décision que je m'apprête très très difficilement à prendre dans les jours qui suivent. Nicolas 9 juin 2016 Cet article fait preuve d'une belle maturité. Je n'ai pas, à proprement parler, de diplôme d'ingénieur, mais un DESS Master II. J'en ai cependant le grade et la fonction en entreprise. Comme beaucoup, j'ai suivi un cursus universitaire long par revanche sociale, l'ingénierie étant, dans une famille ouvrière, équivalente à l'acquisition de galons tout en restant dans les métiers techniques. L'objectif est atteint depuis vingt ans. Mon salaire dans une très grande entreprise m'offre un évident confort matériel, mais mon exigence intellectuelle et ma curiosité ne sont depuis bien longtemps alimentés. Je m'ennuie. L'essentiel de mon énergie est investie dans la compréhension de la complexité organisationnelle de mon employeur. Je m'ennuie et regrette de n'avoir pas su être plus à l'écoute de mes désirs profonds quand j'étais encore un jeune adulte. Mais malheureusement, à cette époque, je composais avec le bagage culturel qui était le mien. La reconversion professionnelle est donc devenue mon objectif principal. Lola Guillot 25 septembre 2016 Salut ! je me permet de te transmettre le manifeste qu'on porte à Ingénieurs sans frontières sur les formations ingénieurs, il rejoint quelques unes de tes réflexions Et une conférence gesticulée de l'un de nos membres qui explique pourquoi il a refusé son diplôme d'ingénieur ; Si le projet t'intéresse, n'hésite pas à nous contacter ! Enzo 22 décembre 2016 Dernière année en école d'ingénieur méca, je cherche un PFE sans la moindre motivation on m'a refusé sur la seule offre susceptible de m'intéresser. Il me reste à peine un mois pour trouver un stage, sinon, c'est l'école qui m'en colle un d'office. Ça promet d'être passionnant… J'ai l'impression de ne rien savoir faire, aucune offre ne m'intéresse vraiment. J'ai même pas encore mon diplôme que je commence déjà à chercher une alternative aux métiers d'ingénieur. C'est comme ça que je suis tombé sur cet article. J'essaie quand même de trouver quelque chose qui puisse rentabiliser » ces cinq ans passés à l'école. La seule chose à laquelle j'ai réussi à penser jusqu'ici, c'est de devenir prof de math ou de méca, là au moins, je sais à peu près à quoi m'attendre, mais l'idée de se retrouver face à une trentaine de gamins déchainés dans un collège pourri de banlieue parisienne, ça fait réfléchir à deux fois avant de se lancer là dedans. Donc voilà, tout ce que je fais maintenant, c'est de contacter des bureaux d'études méca, sans conviction, en essayant de pas trop penser à ce qu'il se passera après. Je prie juste pour avoir une illumination avant la fin du stage pour trouver quelque chose qui m'intéresse vraiment. Alain Grousset 13 février 2017 Bonjour, A 40 ans de distance, je constate que le fossé entre la formation et la profession d'ingénieur ne s'est pas vraiment comblé et ce malgré l'explosion des technologies de l'information qui fait que les jeunes d'aujourd'hui devraient théoriquement être mieux informés sur le monde du travail, avant même de choisir leur leur décharge, il semble que l'orientation professionnelle ne soit pas la préoccupation majeure de l'enseignement secondaire et que la prise en compte sérieuse des aptitudes et des goûts des jeunes à exercer tel ou tel métier et non pas seulement à obtenir un diplôme d'une petite ou d'une grande école ne figure pas au programme du baccalauréat dans ces conditions, comment s'étonner que bien des diplômés se retrouvent en déphasage avec l'exercice d'une profession qu'ils découvrent au terme de leurs études, quand il est un peu tard pour changer de voie? A celui qui ignore son port il n'est point de vent favorable disait semblerait bien que le choix de la profession d'ingénieur procède plus du hasard ou du choix par défaut que de l'élaboration d'un projet bien pensé en commençant par une définition du métier basée sur des critères objectifs et vérifiés par l'expérience, donc par des rencontres avec des ingénieurs en activité. PS je suis devenu ingénieur en 1983 après une prépa car je croyais que c'était un métier haut placé dans la hiérarchie sociale sans l'avoir vérifié, ce qui suppose une grande naïveté de ma part et sans avoir de goût particulier pour les sciences et encore moins pour la des courses j'allais au boulot en attendant la fin de la journée à l'époque de ma jeunesse, le discours ambiant était les études de lettres ne mènent à rien StJimmy 7 avril 2017 Comme certains d'entre nous, me voilà au pied du mur après 5 ans d'études en ingénierie informatique, voie qui ne me correspondait au départ qu'en apparence je suis de nature assez pragmatique, mais je n'ai jamais été un génie de la programmation…. Face aux pressions familiales et à mon incapacité à me diriger vers quelque chose qui aurait pu me motiver en terminale, me voilà chez un éditeur logiciel après 5 années de maths appliquées, physique, électronique et autres matières techniques que je n'ai jamais su apprécier. Je ne sais pas bien où je vais, ni comment je vais pouvoir rebondir face à cette situation quelque peu absurde. Se retrouver avec un diplôme d'ingénieur quand on se sent absolument incompétent dans sa spécialité n'est pas toujours simple à vivre, même s'il y a bien pire comme situation que d'être diplômé bac+5, j'en conviens ! ' Si certains mauvais informaticiens développeurs pour le coup se reconnaissent et ont tenté ou veulent tenter la reconversion, je suis ouvert à la discussion ! 😉 Sinon, y-a t-il parmi vous des profils plutôt relationnels » qui ont réussi à s'orienter vers un métier moins technique que celui d'un ingénieur d'études ? Je suis rassuré de voir que nous sommes beaucoup à nous poser des questions sur ce mysticisme qui tourne autour de ce métier. Pioupiou 11 avril 2017 Salut c'est pioupiou ! C'est moi qui avait laissé un message assez déprimant il y a maintenant 2 ans sur ce site. Diplômée depuis une année, j'ai décroché le job de mes rêves 1 mois avant la fin de mon cursus d'ingé. Je pense que je n'aurais jamais été embauchée si je n'avais pas cette ligne sur mon CV ce qui est assez triste dans le fond. Pendant toutes mes études , j'avais tout de même un fil conducteur et aujourd'hui je travaille pour ce qui me passionne. En fait je me suis rendue compte que ce que l'on te demande principalement dès que tu as des responsabilités et quel que soit le caractère technique de ta tâche, c'est surtout de savoir gérer énormément de choses en peu de temps, savoir te concentrer & analyser des problèmes très rapidement, bref de la polyvalence & de la PRODUCTIVITE. Alors maintenant, finissez votre école, construisez votre parcours autrement et un jour c'est l'école qui devra s'adapter à ces nouveaux profils, comme l'entreprise devra le faire un jour ou l'autre . Attendez que passe le papy boom et l'ingénieur ne sera plus ce qu'il représente aujourd'hui dans la société mais aussi au sein de l'entreprise…. Dans une entreprise, c'est toujours toi qui crée ton poste. N'est cantonné que celui qui n'arrive plus à prendre du recul, incapable de voir le jour avec toute la charge de travail à assumer. Ayez une vie perso géniale, concentrez vous là dessus et petit à petit vous trouverez forcément un domaine dans lequel vous vous épanouirez en tant qu'ingé. Ce n'est pas l'ingénieur qui fait le moine! StJimmy 19 avril 2017 Peux-tu nous dire en quoi consiste ton métier ? 🙂 Je suis content que t'aies réussi à t'y retrouver, après toutes ces années de galère ! Constance 30 août 2017 Salut Thierry, je suis Constance, je viens de finir ma premiere année a l'insa lyon. Je suis ré-inscrite pour l'année prochaine mais j'ai peut etre al possibilité d'aller en prépa BCPST pour etre véto. Si je reste a l'insa, je vois de la bonne mbiance, des oirées, du theatre… De la VIE. MAis je vois aussi un job derriere un bureau ou enfermée dansun labo, je vois uniquement des départements qui ne m'intéressent pas a part peut etre GEN mais j'ai peur encore une fois que ca me mene à du bureau et uniquement du bureau, parce que biochimie ils font des tests sur les animaux et ca me répugne… J'ai l'impression que cette ecole est excellente pour l'ambiance mais que ce n'est qu'une face cachée, que tout le monde porte un masque et se trouve ici sans aucune vraie raison à part de montrer qu'il peut se bourrer la gueule en soirée et frimer le lendemain… Je ne suis pas sure que l'insa correspondent à mes valeurs et qu'en en sortant je trouverais un job qui lui y correspondra… Constance 30 août 2017 Salut John, je viens de valider la premiere année d'insa et ce sont mes notes des humanités qui m'ont sauvé la vie pareil que pour toi avec l'info et le sport. Je ne sais pas si je dervais continuer, je me sius ré-inscrite pour l'année prochaine mais je n'aimais pas du tout les matières et si je me suis ré-inscrite c'est dna scet espoir qu'en departement ca ira mieux ». Mais franchmeent… Aucun depart a part peut etre gen ne m'interesse ; je ne veux pas faire un boulot de bureau pour une grosse boite et etre enfermée. Je ne veux pas etre prof ou manager, je ne veux pas travailler dans la physique pure meca et tout ca, je veux aider l'environnement et les animaux et je ne sais pas si l'insa lyon m'y aidera. Biochimie est hors de question pour moi a cause des tests sur les animaux completement contraire a mes valeurs, et si je me reoriente c'est maintenant pour aller en prepa véto. Mais l'ambiance theatre, danse, tout va me manquer, malgré le fait que j'ai l'impression de trouver beaucoup de gens faux a l'insa… Kar 6 octobre 2017 J'ai lu l'article et toute la section commentaires d'une seule traite et je trouve assez incroyable que cela se termine, malgré toute attente, par un message positif. Je sais pas, ça fait chaud au cœur = Je suis aussi un ingénieur en proie aux doutes, et a peine diplômé je vais probablement devoir me reconvertir en info car mon secteur de spécialisation est bouché matériauxUnefois encore, nous allons prendre pour acquis le fait que vous avez déjà posé, à votre partenaire ou à vos ami.es, les questions de bases qui vous permettent de connaître quelqu'un.Si tel est votre cas, mais que vous en voulez plus, les questions suivantes peuvent vous inspirer et vous donner de nouvelles idées :
Soyez informé de mes publications Si vous souhaitez recevoir une notification dès que je publie un article, cliquez sur le bouton. Ainsi, à partir de votre bureau et de votre mobile, vous serez informé en avant première de mes publications. Vous pourrez vous désabonner à tout moment. Eve Korrigan Artiste et auteure, en 2015 je crée Graine d’Eden et vous partage ma passion pour tous les outils de mieux-être tels que les oracles et le tarot. A l'époque, il s'agissait d'un projet un peu fou car en France, ils étaient peu connus comme support de développement personnel. Depuis 5 ans, je vous propose un nombre conséquent de revues reviews complètes d'oracles et de tarots dans une Bibliothèque interactive afin de vous aider à choisir vos cartes, des publications sur le développement personnel et la spiritualité. Celles et ceux qui me suivent depuis toutes ces années, ont également découvert les premières guidances avec choix de cartes, les Taroscopes annuels, la carte du jour ou encore mes Gifs personnalisés que j'avais plaisir à vous proposer sur Facebook, Youtube et depuis peu sur Instagram. Je suis également la créatrice de plusieurs oracles édités chez Trédaniel. Aujourd'hui, je suis très heureuse que les oracles et les tarots comme outils d'éveil personnel suscitent un intérêt grandissant et puissent contribuer à nous aider à vivre une vie plus épanouissante. Bonne visite sur le site.Partie1Garder une attitude positive. 1. Comprenez que vos sentiments sont normaux. Si être rejeté ou peu apprécié vous blesse, sachez que vous n'êtes pas trop sensible ou irrationnel. Ne pas être apprécié fait mal, même si vous n'aimez pas particulièrement la personne qui ne vous aime pas !
Aimez votre activité Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ». Cette citation de Confucius devrait être mise davantage en application. Pour ceux qui ont une activité professionnelle, vous passez en moyenne la moitié de votre temps éveillé à travailler. Imaginez ce qui se passe sur le plan vibratoire l’énergie que vous dégagez si vous n’aimez pas votre travail. Cela signifie que vous passez la moitié de votre temps à vibrer du négatif ». L’autre moitié qui reste est en grande partie affectée par différentes tâches quotidiennes dans lesquelles vous ne retirez peut-être pas beaucoup de plaisir. Dans ce cas, combien de temps par jour passez-vous à vibrer positivement » ? Lorsque que votre activité professionnelle ne vous plait pas, vous avez 2 choix 1 – Changer votre perception afin d’en retirer du plaisir 2 – Changer de métier. Etant donné que le hasard n’existe pas, il est fort à parier que votre travail actuel est destiné à vous faire grandir à travers l’acceptation. Apprendre à aimer son travail actuel Avant de vouloir changer à tout prix d’activité professionnelle, je vous recommande d’apprendre à aimer votre travail. Aimez-le déjà parce que c’est bon pour vous. En aimant votre travail, vous inversez votre champ vibratoire et attirez alors des événements qui vous procurent du bien-être. Une fois que vous serez parvenu à passer cette 1 ère étape, vous pourrez alors décider de changer ou pas de travail. Si vous faites le choix de passer à l’étape 2 sans passer par l’étape 1, vous repartez avec votre problème et celui-ci refera surface dans votre nouvelle activité. Rappelez-vous que ce ne sont pas les faits qui vous rendent heureux ou malheureux, mais la perception que vous en avez. En changeant votre perception, vous changez votre réalité. Lorsque vous choisirez de voir tous les bons côtés de votre travail actuel, vos journées seront remplies de bonheur et par la même, vous transmettrez ce bonheur tout autour de vous, contribuant ainsi à ce que votre entourage se sente mieux. Transmettez l’Amour de votre travail tout autour de vous. Vous pourrez alors remplacer le bon courage » par amuse toi bien ! ». Je vous souhaite la plus grande joie dans votre travail » !Dansma série sur les mythes qui sont repris la bouche en coeur , aujourd’hui voici le mythe de “Faire ce que l’on aime“. Faire ce que l’on aime est un classique souvent suivi de “ et vous n’aurez jamais l’impression de travailler”. La supposition, c’est que si vous avez une passion qui vous rapporte de l’argent, vous n’aurez pas l’impression de travailler
Entretien d’embaucheComment exprimer son intérêt pour un poste lors d'un entretienPar l'équipe éditoriale d'IndeedPublié le 30 septembre 2021Un entretien d'embauche est l'étape décisive pour décrocher le travail de vos rêves. Lors de cet entretien, le recruteur vous demandera systématiquement quelle sont vos motivations pour le poste que vous visez. Il est important de savoir répondre correctement à cette question, car votre réponse pourrait bien déterminer la décision finale du recruteur. Dans cet article, nous vous expliquerons comment exprimer son intérêt pour un poste, puis vous donnerons des exemples de exprimer son intérêt pour un poste ?La question sur la motivation est très fréquente lors des entretiens d'embauche. Si le recruteur vous pose cette question, ne donnez pas une réponse évasive. Celle-ci doit être bien élaborée. C'est la raison pour laquelle vous devez la préparer bien avant le jour de l' Effectuer des recherches sur le posteLa première chose à faire est de faire des recherches sur le poste. En effet, pour exprimer votre motivation au mieux, vous devez bien cerner les responsabilités du poste que vous souhaitez obtenir. Si vous postulez à un poste de secrétaire administratifve, par exemple, essayez de savoir quelles sont les tâches que vous devrez accomplir au sein de l'entreprise allez-vous être en charge de certaines tâches liées à la comptabilité, ou serez-vous amenée à côtoyer la clientèle de l'entreprise ? Vous devez comprendre de quoi il retourne afin de formuler votre réponse rédiger des rapports et des notes d'information ;apporter une aide ponctuelle à la comptabilité ;classer les dossiers ;accueillir le public ;gérer les pouvez vous servir des responsabilités liées à votre futur poste afin d'élaborer votre réponse. Dans le cas d'un poste de secrétaire administratifve, il faudra vous appuyer sur les responsabilités que vous aurez identifiées au préalable. En voici un exemple J'aimerais obtenir ce travail, car cela me permettrait de mettre en pratique mes compétences organisationnelles et ma grande rigueur. Je pense que je pourrai m'épanouir à ce poste grâce à mon sens de la communication et à mes compétences en matière de rédaction. De plus, mon expérience précédente avec les logiciels de comptabilité me permettra d'apporter une aide de qualité au service comptable de l'entreprise. »2. Effectuer des recherches sur l'entrepriseFaire uniquement des recherches sur le poste ne vous permettra pas d'élaborer une réponse sans faille. C'est la raison pour laquelle vous devez aussi vous renseigner sur l'entreprise. Si le recruteur voit que vous avez fait des recherches sur l'entreprise, il comprendra que vous portez un intérêt tout particulier au poste, et cela jouera bien sûr en votre en savoir plus sur l'entreprise, plusieurs solutions s'offrent à vous. En premier lieu, vous pouvez vous rendre sur la page web de l'entreprise afin d'en apprendre plus sur elle et sur sa culture. Si cette recherche ne se révèle pas concluante, essayez de trouver des articles ou communiqués de presse parlant de l'entreprise. Dans le cas où vous avez des relations au sein de l'entreprise, vous pouvez les contacter afin d'en apprendre Dresser une liste de vos compétences et qualitésIl est aussi important de déterminer vos compétences et vos qualités. Pour cela, prenez une feuille et un stylo et listez-les. Parmi les compétences et qualités que vous avez listées, sélectionnez celles qui peuvent vous être le plus utile et essayez de définir en quoi elles vous permettraient d'assurer les responsabilités liées au ce niveau, il est conseillé de faire très attention. Les qualités que vous avez sélectionnées ne doivent pas devenir un défaut pour le poste. Par exemple, la discrétion est une qualité qui convient plus à une assistante de direction qu'à un agent commercial de Tenir compte des raisons qui vous ont poussé à choisir ce secteurPensez également aux raisons qui vous ont poussées à choisir ce métier. Par exemple, si vous travaillez dans l'enseignement, déterminez les raisons pour lesquelles vous avez choisi ce métier peut-être aimez-vous partager vos connaissances ? Ou peut-être avez-vous à cœur d'aider les jeunes générations à trouver leur chemin dans la vie ? Laissez votre passion s' Bien structurer votre réponseAprès avoir fait des recherches sur le poste et l'entreprise, et listé vos compétences, vous pouvez maintenant essayer de condenser et de structurer votre réponse en regroupant ces informations. Dans celle-ci, le recruteur doit sentir que vous avez confiance en vous. Vous devez lui montrer que ce poste vous convient, qu'il pourra vous permettre de progresser dans votre carrière en vous aidant à atteindre vos exemples de motivations professionnellesPour vous aider à mieux exprimer vos motivations, voici quelques exemples de réponses. N'hésitez pas à vous en servir, ils peuvent vous être d'une grande 1 architecte d'intérieur J'ai toujours été passionnée par tous les métiers ayant pour socle la créativité et l'esthétique. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai choisi de devenir architecte d'intérieur. Même si j'ai travaillé sur des projets à petite échelle lors de mon dernier emploi, ce poste m'a tout de même permis d'acquérir l'expertise technique nécessaire pour superviser des projets beaucoup plus importants. Je suis impatiente de combiner ma créativité et mon sens de l'esthétique avec mon expertise technique, afin de concevoir des aménagements intérieurs exceptionnels pour de grands hôtels, à l'instar de …. »Exemple 2 responsable marketing En tant que spécialiste marketing, j'ai toujours été passionnée par les projets nécessitant de la créativité, de même que par le travail d'équipe. Durant ces cinq dernières années où j'ai travaillé chez …, j'ai été lela témoin privilégiée des nombreux succès de notre équipe, notamment en ce qui concerne la conversion de nos prospects en clients. Si j'ai beaucoup apprécié cette expérience, aujourd'hui, je me sens prête à assumer des missions encore plus importantes. »Exemple 3 ingénieur informaticien La technologie et l'informatique sont des domaines qui m'ont toujours fascinée c'est pour nourrir cette passion que j'ai décidé de me tourner vers ce métier. Après sept années passées dans mon ancienne entreprise, j'ai constaté qu'il n'y avait plus d'opportunité d'évolution. En revanche, ce poste correspond parfaitement à mes attentes et s'aligne très bien à mes objectifs. Pourrais-je en savoir plus sur le profil exact que vous recherchez ? »Quelques conseils pour bien répondreComme nous l'avons dit, la première étape consiste à bien structurer votre réponse. Il est également important d'éviter certaines erreurs. Voici quelques conseils qui vous seront utiles à cet effet La précisionIl est important que vous fassiez preuve de précision dans votre réponse. Évitez les digressions, les réponses vagues ou évasives. Votre réponse doit exprimer votre motivation réelle, preuves à l' preuve d'optimismeRestez toujours positifve dans votre réponse. Si vous évoquez des sujets négatifs, cela risque de ne pas plaire au recruteur. Évitez de parler négativement de vos anciennes expériences et focalisez-vous sur les raisons pour lesquelles ce poste vous plaît pas le sujet de la rémunérationBien sûr, l'une des meilleures motivations demeure la rémunération. Cependant, évitez de parler du salaire comme motivation devant le recruteur. Il s'agit d'un sujet extrêmement sensible et le recruteur pourrait penser que seul l'argent vous intéresse, plutôt que le poste de dénigrer votre employeur actuelQuel que soit le poste pour lequel vous postulez, ne dénigrez jamais votre employeur actuel. Même si vous avez un différend avec lui, évitez de l'évoquer lors de l'entretien. Cela pourrait renvoyer une image très négative de votre les réponses trop flatteusesSoyez toujours honnête en exprimant votre motivation. N'essayez pas de trop en faire ou de prouver par tous les moyens que vous êtes le ou la candidate parfaite pour ce poste. Cela pourrait bien vous desservir plus qu'autre votre concentrationLa concentration est aussi essentielle. La réponse que vous donnerez doit être liée uniquement à l'entreprise et au poste. Évitez de vous détourner de votre objectif. Si votre réponse est décousue ou hors-sujet, cela vous portera assurément montrer votre motivation lorsque vous êtes déjà en poste ?Vous avez réussi à obtenir le poste ? C'est parfait. Toutefois, l'important est de le conserver. Pour ce faire, montrez toujours au recruteur que votre motivation de départ est intacte et que le temps n'a pas de prise sur elle. Ces quelques conseils vous y Faites preuve de ponctualité, évitez les absencesVeillez toujours à votre ponctualité au travail. N'inventez jamais de prétextes pour ne pas venir travailler. Le simple fait de rater une journée de travail doit rester impensable, sauf si vous avez véritablement une urgence. En procédant de cette manière, vous prouverez à l'employeur que votre travail vous plaît toujours Commencez vos journées avec un large sourireN'arrivez pas au travail avec un air triste ou contrarié. Cela pourrait laisser croire que votre travail ne vous rend pas heureuxse. Dans la mesure du possible et des aléas de la vie quotidienne, montrez-vous toujours enthousiaste !3. Prenez des initiativesPrendre des initiatives, c'est montrer à votre employeur la mesure de votre implication concrète dans l'entreprise. Proposez-lui des idées et des actions à mener. N'attendez pas toujours que l'on vous propose de faire telle ou telle chose soyez catalyseur et pro-actif. La passivité doit rester votre ennemi numéro Soyez dure à la tâcheLe plus important lorsque vous travaillez est de ne jamais perdre de vue votre objectif. Or, pour atteindre ce dernier, vous devez faire preuve de constance, de persévérance et parfois même d'acharnement. Faites également de votre mieux pour accomplir votre tâche afin d'aider l'entreprise à atteindre ses objectifs. Votre motivation sera visible à la mesure des efforts que vous fournirez au quotidien.